Williams Blake STIGMATISEUR | Créateur de Stigmas
Messages : 64 Date d'inscription : 11/05/2012 Age : 28 Localisation : La où il y a du café ! *-*
Carte d'Identité Âge: 29ans! Vie&Relations: Couleur : Black
| Sujet: Ajou en raison du renouveau du fow' ! [Will] Sam 12 Oct - 22:58 | |
| Le cran de sureté de mon arme émit un bruit qec lorsque je le retirai. Le lourd métal me sembla alors plus froid tandis qu'il se parait d'une aura mortelle entre mes doigts engourdis et maladroits. Pourtant je savais pertinement que la cité était conçu pour être toujours fraiche sans être froide. Alors pourquoi ? Je savais que le canon de cette arme et la présence d'une unité policière à mes cotés allaient gâcher la vie de mon meilleur ami.
Je m'apellais Mc Lyner et je m'appréttais à tuer physiquement et socialement mon confrère Williams Blake.
Les raisons ? Mon Projet. Des individus parfait, des armes sans coeur et sans pitié que j'ai conçu par amour. Un amour démesuré de la mécanique. Enfermé dans mon laboratoire, entre tripes et morceaux de ferrailles, j'ai d'abord conçu un prototype que je croyais infonctionnel, à l'image des cheveux lisses, longs et noirs de mon meilleur ami, de sa peau un peu pâle et de ses yeux ouvert sur le monde comme une fenêtre de raison. Puis je l'avais dissimulé dans un cryo-caison, une sorte de machine incroyable qui méttait en léthargie les individus. Malheureusement un seisme a détruit cette installation dans la montagne et lancé le prototype WB - 0000 dans la montagne. Ensuie j'ai invité mon meiller ami spécialiste comme moi à venir travailler dans un autre laboratoire sous-marin, construit avec ma fortune. Il a accepté car je lui ait ditcque toute les personne qui serait opéré serait consentante. Un petit mensonge pour un gros progrès : nous avons opéré une cinquantaine d'individus et il nous en reste au moins deux cents dans nos cellules aménagés, en attente de l'opération. Tout était parfait, deux génies travaillaient de concert sur la prochaine révolution mécanico-industrielle, à l'image de ce que les Dixiis ont apporté au monde.
Sauf qu'un grain de sable venait de se glissee dans l'engrenage du progrès et tentait de faire capoter mon projet. Il avait commencé avec la rencontre entre cette catin et son ami, cette blondasse laide à en crever et vivant comme une chienne. Océanne. J'étais outré que cet homme à qui je faisais confiance la trahisse pour le bonheur d'une femme. Surtout qu'il avait laissé la demoiselle s'enfuir. Et il avait essayé de prendre lui aussi la tangente, sans savoir que je le les punirais. Faire exploser cette putain avec la bombe logé dans son crâne m'avait donné un sentiment de puissance incroyable. J'étais devenu le Dieu de ces Stigmas, de ces êtres parfaits.
La plaie que j'infligeai physiquement à mon ami fut rapidement réparer avec les atouts disponible sur place, et j'avais pris soin de préparer le futur en greffant dans cet oeil d'Océanne une micro-caméra. Je me doutais que cet homme me trahirait à nouveau, alors j'avais pris une précaution. Chacune de ses rencontres avec des Stigmas fut enregistré, et je m'étais personnellement occupé de le dénoncer lorsque les choses allèrent dans une autre direction que celle que je souhaitais. C'est pourquoi je me trouvais devant la porte de son appartement, armé d'un pistolet et avec des policiers à mes cotés : je venais arrêter mon meilleur ami, ce traitre à ma cause, avec comme chef d'accusation la fabrication d'être parfait. Et j'avais pris soin de dissimuler toute trace de mon implication dans ce projet, que ce soit nos conversations et mes apparitions vidéo.
Il allait être arrêté et je serais libre de diriger mon laboratoire et de continuer mon trafic de perfection. Lorsque tout les Stigmas auront reconnu ma magnificience et ma grandeur, alors je conquérirais la terre. Je deviendrais l'égal de Dieu.
Ma tête me tourne tandis que j'entends des instructions murmurés à mes oreilles, concernant la préparation de l'arrestation. Alors, tandis que les derniers détails se règlent, je referme le poing sur le calibre 40 entre mes doigts. Le sergent-chef fait signe de silence et va à la porte avant de crier à l'intention de Williams.
« Mr Blake, sortez les mains sur la tête et sans faire d'histoire ! Nous avons des chefs d'accusations contre vous qui nous autorise à ouvrir le feu en cas de refus, comme face au menace de classe 4. Je vous sommes de sortir avant que nous soyons obligé d'utiliser la force ! »
Un court silence suivit la tirade, avant que la voix de Williams s'élève dans le silence, hargneuse et vibrante de détermination:
« Vous ne m'aurez paaaas ! »
Une rafale de balle transperça la porte, comme si le scientifique tirait à la mitraillette. Je sursautai et me jetai derrière un mur. Lorsque le silence revint, le sergent-chef avança prudement, avant de défoncer la porte et de lancer une grenade. Quel homme !
Sauf qu'à l'intérieur se trouvait juste une petite poupée robotique à tête de singe tenant fermement un AK - 47 rouillé et tentant vainement de tirer sans munitions. Les policiers fouillèrent l'appartement et constatèrent qu'il n'était plus occupé depuis au moins deux jours, date à laquelle je l'avais dénoncé. Quand à moi, je me dirigeai vers le singe mécanique et je le ramassas. Le message était clair, ce robot était une création de mon ami et de moi à l'époque de la fac. J'ouvris discrêtement la cache aménagé dans son dos et y trouva une lettre et un globe occulaire étincellant qui tombèrent dans ma main. Juste quelques mots qui m'était addressé sur le papier. L'écriture calligraphique de mon meilleur ami me fit frissoner.
"A bientôt, Lyner. Je me vengerais."
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